Dans un contexte économique difficile pour les agriculteurs, l’accompagnement des exploitations en difficulté évolue, avec la mise en place du dispositif AREA en lieu et place d’Agridiff. Eléments de compréhension avec Terre de Compta.

Depuis février 2018, gouvernement, parlementaires et acteurs du monde agricole poursuivent leurs débats au sujet de la réforme de la fiscalité. Les résultats de leurs travaux ont été rendus public par le premier Ministre en septembre et font l’objet de débat au Parlement dans le cadre de la future Loi de Finances pour 2019.

Le saviez-vous ? Si l'inscription des terres au bilan est obligatoire, il est possible garder ses biens dans son patrimoine privé. Le point avec Terre de Compta.

Diriger une entreprise agricole s'accompagne de certaines obligations, parmi lesquelles les obligations comptables. Terre de Compta vous aide à vous y retrouver.

Les aides à l’agriculture qui dépendent du régime « de minimis » sont soumises à un plafond de 15.000 € sur trois exercices et à d’autres conditions. Explications de Terre de Compta sur les aides « minimis ».

Pour alléger le poids de votre impôt l'année prochaine, il reste encore quelques jours pour défiscaliser ! L’Etat vous y encourage et vous avez jusqu’au 31 décembre ! Pour les contribuables qui investissent dans des secteurs de l’économie jugés prioritaires, la carotte fiscale est extrêmement intéressante. Terre de Compta vous donne quelques pistes pour vous permettre de réaliser des économies d’impôt.

Acquisition de matériel agricole, modernisation d’équipements ou encore achat de nouveaux terrains… : pour valoriser l’entreprise agricole, les exploitants sont souvent amenés à souscrire des emprunts professionnels. En cas d’invalidité ou de décès du souscripteur, les garanties de l’ADI (l’assurance décès invalidité) permettent de protéger le conjoint survivant

Chaque année, le propriétaire (bailleur) est redevable de la taxe foncière sur la propriété bâtie et non bâtie. Comme le prévoit la loi, l’impôt foncier repose donc sur le bailleur : c’est lui le redevable légal de la taxe foncière. Toutefois, une partie de l’impôt est également supportée par le preneur (le locataire ou l’exploitant).